Documents Annexes


Décès du Légionnaire Jean-Charles HENIN,

Hôpital de Sidi-Bel-Abbès

L'Officier des Effectifs du 1er Rgt Etranger demande au Médecin chef de l'hôpital militaire de Sidi-Bel-Abbès
la cause du décès du Légionnaire Jean Henin. La réponse: Dysenterie chronique, arrivé malade au Corps

 

 

Marie-Thérèse HENIN-JANTZEN et ses cousines HENIN
le 4 juillet 1975, Rochefort, Ecole Ste Thérèse

Lors du mariage de ma soeur Lisette en juillet 1975, le repas de noces se faisait à l'Ecole Ste Thérèse, Quartier de la Briqueterie à Rochefort;
Marie-Thèrèse est au centre, entourée de ses cousines;
De gauche à droite: Nelly HENON (épouse de Pierre HENIN), Elisabeth HENIN (Veuve Léon BARNICH),
Joseph SONVEAU, époux de Louise HENIN et Louise HENIN, Marie-Thérèse, derrière: Pierre HENIN;
Marguerite HENIN, Veuve Pol DACHELET; Jeanne HENIN, Anne Joseph HENIN, et Jules DUPUIS, époux de Jeanne HENIN.
Que de sourires (hypocrites?...), quand on pense aux 60 années d'ostracisme, et de non-dits!

 

 

 

 

 

Lu sur Wikipedia Anglais

"The original German guillotines resembled the French Berger 1872 model, but they eventually evolved into more specialised machines largely built of metal
with a much heavier blade enabling shorter uprights to be used. Accompanied by a more efficient blade recovery system and
the eventual removal of the tilting board (or bascule) this allowed a quicker turn-around time between executions, the condemned being decapitated
either face-up or face-down, depending on how the executioner predicted they would react to the sight of the machine.
Those deemed likely to struggle were backed up from behind a curtain to shield their view of the device.
As such the blades of some models were covered by a metal screen to hide it from sight."

"Les guillotines allemandes originales ressemblaient au modèle français Berger de 1872 , mais elles évoluèrent vers des machines construites en métal
avec une lame beaucoup plus lourde, permettant l'usage de montants moins haut. Un systeme plus efficace de remontage de la lame couplé à
l'enlèvement du berceau basculant ("la bascule") permirent d'accélérer le rythme des exécutions, les condamnés étant exécutés ausssi bien
le visage tourné vers le haut que vers le bas, ceci dépendant -aux yeux du bourreau- de la réaction que pourrait avoir le condamné à la vue de la machine.
Ceux qu'il croyait capables de résister était emmenés de dos de derrière un rideau pour les empêcher de voir la machine .
Sur certaines machines, les lames étaient cachées derrière un écran métallique"

 


A gauche, la guillotine de Plötzensee. A droite, celle de Strasbourg: la bascule (avec les sangles) est
à l'horizonale, dans la "position de travail"... Au milieu, la bascule est en position d'attente

Le Reich ne fait rien gratuitement pour ses opposants!
Les frais d'exécutions sont à la charge de la famille du condamné!

Source: Mémorial de la Résistance Allemande

La facture, d'une précision mathématique, comporte la rémunération du bourreau,
les frais journaliers occasionnés par la détention préventive
et le temps passé dans la cellule du condamné à mort... sans oublier les frais de port! 12 Pfennigs!

(Facture établie pour l'exécution d'un certain Gustav Neubauer)

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